Dean Stanton

Messages : 2 Date d'inscription : 29/10/2008

Nom, Prénom

Dean Stanton Th_jl17

21 ans
né le 22 Décembre 1987
Asami Barairo Stanton – Yann Stanton
Anglo-japonaise
ici pour cause de violence incontrôlé envers lui-même et ces congénères, plusieurs tentative de suicide, drogué.

P a s s é & e n t o u r a g e

Histoire

Il était une fois, dans un village se situant dans les côtes est du Japon, un jeune couple heureux. Ceux-ci venait de donner naissance à un petit garçon qu’ils nommèrent Dean. C’est ainsi que comme ce gentil petit conte de fée…
Dans cette famille, le bonheur respirait à plein poumon, la chaleur remplissait leur foyer et la petite grandissait dans ce bonheur qui la faisait sourire à tout moment de la journée. Ces instants passés en présence de ses parents furent certainement les instants les plus heureux de sa vie…Dommage qu’aujourd’hui Dean ne puisse plus s’en souvenir…

Vous trouvez que cela est bien joli ? Et bien, vous avez raisons, leur bonheur continuait d’année en année, la petite grandissait et s’épanouissait dans cet amour qui en aurait fait pâlir de jalousie plus d’un enfant, le couple semblait s’aimer sincèrement et s’occupait avec une très grande attention de leur fils. Dans le village, ils étaient vus comme l’exemple même d’une famille bien élevée et heureuse, mais dans tout tableau se cache une tache noire, quelque chose qui changera cette vie…C’est le juste équilibre des choses…Autant de bonheur se doit de s’égaliser avec la même dose de malheur…C’est triste à entendre, mais c’est ainsi que la vie marche…Non ?

Dean était âgée de dix ans quand sa vie changea du tout au tout. Il était dans un taxi avec sa maman, lui tenant la main doucement, il avait les yeux fermés pour apprécier les douces caresse que sa mère faisait dans ses cheveux. Aujourd’hui, sa mère honorait une promesse qu’il avait faite à son fils un jour plutôt, il lui avait promis d’aller en ville lui acheté un nouvel ours en peluche –ours qu’il a toujours à ce jour–
Ce fut sur le chemin du retour que le jeune garçon c’était endormie ainsi dans les bras de sa mère, la main de cil ci dans la sienne, sa peluche dans ses bras, son visage contre les genoux de cette douce maman et la deuxième mains de sa génitrice se posant sur sa tête pour caresser ses longs cheveux noir.

Un coup sec de frein, des secousses, des hurlements, plusieurs bruit indescriptible, Dean n’avait même pas eu le temps de se réveiller. Il sent une chaleur intenable autour de lui, il ouvre les yeux un instant, il est en dehors de la voiture…Des médecins l’entoure, il voit au loin le taxi retourné, la main de sa main sortant de la vitre brisée, il hurle des mots en regardant son fils droit dans les yeux, Il ne comprend rien, il n’arrive pas a comprendre, jusqu'à ce que la voiture jaune explose envoyant dans les airs des débris de la voiture et des flammes montant vers les nuages…Il ferme les yeux…

Quand il les rouvre, ce fut deux jours plus tard, il se trouve dans une chambre, le seul son qu’il entend pour le moment est celui qui est au rythme de ses battements cardiaque : « Bip…Bip…Bip… »
Il observa à sa droite, à sa gauche, face à il, une ombre se forme, quelque chose de flou qui prend de plus en plus de netteté. Il reconnaissait cette silhouette carrée d’un homme, son père, celui-ci l’observe, les yeux pleins de larmes…Et sans s’en rendre conte, Dean se met-il aussi à pleurer silencieusement, l’image de sa mère lui revenant en tête…L’explosion…La mort…

Il entendit son père prononcé son prénom :

« Dean »

Ses yeux glissèrent vers le regard larmoyant de son père, il sourit légèrement tout en pleurant, son père se lève et se dirigeait vers il prenant son fils dans ses bras, la serrant contre lui, lui faisant comprendre par ce geste qu’il était tous ce qu’il lui restait au monde. Cette famille si heureuse venait de connaître le plus grand tournant de leur vie paisible, la mort de cette femme amoureuse de famille fut un tragique moment à passé pour le père et son fils mais aussi pour le village entier qui admirait cette famille comme étant le symbole même du bonheur et de l’union familiale.

Dean sortit de l’hôpital le jour ou sa mère fut entourée, à l’enterrement, habillée de noir, ce fut la seule couleur qu’il se permettait de mettre à partir de ce jour, du noir…
Il tenait la main de son père quand le cercueil descendait vers la terre, le curé du village contait l’histoire de leur mère, ses dons, tous ce qui avait fait d'elle une femme irréprochable, une mère exemplaire, une épouse adorable…Ce jour là, le soleil était dégager, les oiseaux chantaient sur les arbres qui environnait le cimetière et Dean pleurait en silence la disparition de sa mère alors que le soleil séchait déjà ses larmes avant même qu’il ne puisse glisser jusqu'à ses lèvres.
C’était comme si sa mère était toujours à ses côtés pour essuyer ses pleures…

Le temps passait petit à petit, le père resta très longtemps en deuil et la jeune enfant ne semblait pas vraiment en sortir, ne s’habillant que de robe noire…Mais pourtant, son sourire revenait petit à petit, ne quittant plus l’ours en peluche qui fut le dernier souvenir de sa mère.
Ce fut un jour comme les autres, un an c’était écoulé depuis la mort de sa mère, Dean rentrait de l’école, sa peluche en main, il cherchait après son père dans la maison.

« Papa ? Tu es où ? »
« Dans le salon Dean… »

Sa voix était étrange et Dean avait directement pris peur, serrant sa peluche en main, le ton de son père était celui qu’il utilisait quand Dean avait fait une bêtise et pourtant, il avait beau essayer de se remémoré tous ce qu’il avait fait ses derniers jours, il n’avait pas fait de bêtise, il n’y avait rien à lui reprocher. Cependant, il s’aventura dans le salon, son père était debout, face à la cheminée, caressant de ses doigts le verre du cadre contenant une des photos de sa femme décédée.

« Sais-tu ce que tout cela veux dire Dean ? »

Il releva la peluche dans ses bras, le visage de l’ours contre le sien

« Dean…Dean… »

Dean n’avait jamais compris pourquoi sa mère l’avait nommé ainsi, au son de la voix de son père la petite c’était mis à tremblée, reculant de plusieurs pas. Son père tenait le cadre de sa mère entre ses mains, observant son fils avec une lueur étrange dans ses yeux, l’enfant ne savait que faire, serrant cette peluche dans ses bras.

« Lâche cet ours »
« Non »
« LACHE LE ! »

Il sursauta, et la peluche heurta le sol, couché contre celui-ci, la suite fut d’une violence extrême, l’enfant reçu en premier le cadre sur le visage, le verre se brisa…Une gifle claqua, les cris de la petite retenti, le père criant par dessus, hurlant sur son fils que tout cela était de sa faute…Si il n’avait pas été, sa mère n’aurait jamais disparut et il aurait pu continuer à aimer, à être amoureux, à être heureux. La petite pleurant sous les coups de son père se faisant de plus en plus violent, de plus en plus douloureux…
Quand il fut lasser de s’acharner sur la gamine, il la laissa pleurer sur le sol de ce salon, sa main contre son ventre, il gémissait de douleur, regardant la photo de sa mère sur le sol :

« Ma…man… »

Il ferma les yeux doucement, se réveillant dans son lit plusieurs heures plus tard, son père l’avait ramenée dans sa chambre apparemment, il observait la peluche qui se trouvait à ses côtés, serrant cet ours contre ses bras. Son père couché à ses côtés observait son fils dormir depuis tout à l’heure, il semblait l’avoir soigner de ses blessures, il regardait son enfant se réveiller et il posa une main très douce sur le visage de Dean, lui souriant comme il avait l’habitude de le faire quand il était à ses côtés, les yeux pleines de larmes, son père murmura entre des sanglots :

« Pardonne-moi… »

Il serra délicatement l’enfant dans ses bras, Dean faisant confiance à son père, il sombra doucement dans ses rêves, restant ainsi dans les bras de son père, tous deux passèrent la nuit ainsi ensemble, l’un dans les bras de l’autre. Le matin se leva et les journées passèrent ainsi dans le bonheur des autres jours.
La petite ne semblait pas se rendre compte que tout cela n’était qu’un commencement…

Deux semaine plus tard, il se trouvait dans son bain, se lavant doucement, sa peluche posée sur la cuvette des wc, il jouait avec l’eau avant que son père ne rentre dans la salle de bain, observant son fils avec cette même lueur dans les yeux, il observait son père, ne comprenant pas tout de suite ce qui allait se passé…Il n’eut le temps de réagir, les mains de son géniteur c’était posé sur sa gorge et l’avait directement poussé sous l’eau, les yeux grand ouvert il voyait la surface à travers l’eau et la mousse, ses yeux lui piquaient et les larmes se diluait dans cet eau…
L’air commençait à lui manquait quand son père la tiré du bain, la serrant à nouveau dans ses bras, en pleure, sanglotant, il ne cessait de murmurer des excuses que le jeune garçon accepta une nouvelle fois…Pensant que tout cela était de sa faute et que c’était à il de changer.

Et pourtant, tous les deux semaines environs il recevait les pires sévices de son père, coups, blessure, étranglement, et ce fut à chaque fois pareilles malgré les changements que l’enfant essayait de faire, il avait carrément arrêter de porter du noir, recommençant à s’habiller comme au temps ou sa maman était encore vivante mais cela ne semblait rien changer, bien au contraire, à chaque fois il recevait pire que l’autre fois, le jeune garçon était perdue et plus il grandissait, moins il faisait confiance à son père, devenant une simple poupée de chiffon que l’on secoue dans tous les sens quand celui-ci avait ses crises…Ne répondant plus à ses excuses, ne changeant plus rien, s’habillant à nouveau de noir, commençant doucement à s’exclure des autres…

Les années passèrent et il subissait les coups sans plus rien dire, pleurant en silence la disparition de sa mère, priant un Dieu qui ne semblait pas vouloir écouter ses prières et ses pleures. Il avait quatorze ans aujourd’hui et sa façon de s’habiller était devenue de plus en plus effrayante, s’affirmant petit à petit dans sa manière de penser et de voir le monde extérieur, aujourd’hui, il était silencieuse, entourée de deux seules personnes, deux garçons avec qui il formait un groupe de musique, deux garçons qui ne se doutait qu’un minimum de ce que pouvait vivre quand il rentrait de ses répétitions avec le groupe.

Mais les sévices changèrent, le petit Dean ressemblait de plus en plus à sa mère, il était coucher dans son lit quand il entendit la porte de sa chambre s’ouvrir et le pas furtif et discret de son père, se préparant déjà à recevoir des coups, cependant, il ne fit que s’asseoir sur le lit, il observa son fils et commença à lui parler :

« Je veux changer… »

Le cœur de Dean se mit à battre, sa façon de parler semblait si sincère et au fur et a mesure qu’il l’écoutait, il y croyait, offrant à nouveau sa confiance à son père, celui-ci posa ses yeux dans ceux de son fils, une main sur sa joue, il lui souriait comme il souriait autrefois, ses yeux contenant des larmes qui s’apprêtait à glisser sur sa joue mais Dean se releva, s’asseyant sur son lit, il essuya de ses petits doigts les larmes de son père et lui souria à son tour. L’homme déposa un premier baisé sur le front de fils, un second sur joue, un troisième à la nuque, il posa ses mains sur les épaules de Dean qui recevait ses baisés sans réellement comprendre ce qui l’attendait.

Son père compressa ses épaules entre ses mains et Dean plissa des yeux, gémissant entre ses lèvres :

« Tu…Me fais…Mal, papa… »

Mais à cet instant, il plaqua son fils contre le lit, l’ours en peluche glissant du lit, heurtant le sol dans un bruit sourd alors que son père offrait à son fils les pires choses qu’on pouvait offrir, s’imaginant que cet enfant était la femme qu’il avait aimer…Le lendemain matin…Dean semblait autre part, blanche comme un linge, il ne disait rien…

Ce fut lors de la répétition qu’il tomba sur ses genoux, se mettant à pleurer, la seule personne étant présente était son amie Sid…L’un des deux membres du groupe auquel il faisait partie, celui-ci avait voulut prendre Dean dans ses bras mais il l’avait empêcher en le rejetant brutalement. Face à ce geste, Sid recommença et obligea Dean à se retrouver dans bras, ce fut au bout de plusieurs minutes de luttes que la jeune fils se laissa faire, pleurant contre l’épaule de son amie qui semblait deviner à l’avance ce qui arrivait à la petite Dean car il prononça ses paroles :

« Un jour tout ça cessera… »

[ A suivre, Histoire trop longue ]

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Il avait seize ans quand il raconta enfin à Sid ce qu’il subissait depuis le début de son enfance, le garçon n’avait pas réagis mais trois jours plus tard, Dean en rentrant chez lui, reçu la plus violente des gifles que son père et pu lui donner

« COMMENT A TU OSÉ ! »

Dean releva la tête, il ne comprenait pas, son père lui fit alors comprendre dans ses hurlements que Sid était venu le voir pour le menacer de tout dire à la police s’il n’arrêtait pas de faire souffrir son ami Dean. Sur le coup, le jeune homme c’était senti trahit car ce qui allait lui arriver semblait beaucoup plus violent que d’habitude, il c’était alors décidée de ne plus se laisser faire, se relevant, il fonça directement sur son père le faisant tomber au sol. Il s’encourut directement vers la cuisine, son père le rattrapant le fit tomber sur le carrelage de la cuisine, son nez saignait sur le choc de sa tête au sol…

« DEAN ! »

C’était la voix de Sid, elle avait retentit à l’instant ou quelque chose pénétra dans le corps de l’adolescent, le sang se répandant autour de lui doucement, la police était présente, le père fut emmené et enfermé alors que le jeune homme fut amenée à l’hôpital.

Depuis ce jour, Dean ne fut plus jamais le même. Plongeant dans un tout autremonde, pour lui, la terre entière était pourrit. Vivant dans une constante transe, il plongeait dans la drogue, la violence, le sexe…Rien avait d’importance parce qu’il avait à ses yeux tout perdu…
Le souvenir de son père le hantant chaque jour, le jeune homme décida de mettre fin une première fois à sa vie…Sid venant une nouvelle fois lui sauver cette même vie…A croire que les fous veille sur les autres fous…

Il passa d’internat en internat, d’hôpitaux en hôpitaux…Jusqu'à atterrir ici…

Caractère

Violence... C'est le maître mot de ce garçon. Faire du mal et avoir mal est l'une de ses uniques sources de jouissance. Il aime l'excès, et s'y complaît. Il fait peur, par son allure extravagante et extravertie. Marginal, quand on ne le connaît pas on ne l'approche pas. Il a une réputation des plus salées. Nombres d'élèves ont subit ses attaques ou ses pulsions gratuites. C'est un sadomasochiste à l'état pur. Il ne vit que pour ressentir la douleur, qui fait partit intégrante de son être. Il ne comprend pas que cela peut avoir des répercussions graves, tant pour lui que pour les autres. Il ne fait pas attention à ces détails, il vit dans une bulle bien à lui. Il n'a pas vraiment d'amis, ou alors ils lui ressemblent dans certains traits de caractère. Il aime se faire remarquer, tant pas les professeurs que par ses camarades. Bon nombre font demi tour quand ils le croisent seul...

Dean a toujours été quelqu'un de très doux, de très sensible et peut-être même un peu trop. Cependant, il a énormément de mal à exprimer ses sentiments, faisant du mal aux personnes qu'il aime...Il ne l'avoue pas mais il lui était déjà arriver de lever la main sur Camille quand celle-ci l'énervait, quand il aime, il a tendance à être violent...Pourquoi ? Il a toujours été traumatisé par la mort de ses parents. Plongeant ainsi dans la drogue…
Il est cependant capable de tout pour obtenir ce qu'il veut, il estime aujourd'hui qu'il est un monstre et qu'il montrera seulement cette image de lui aux autres...Après s'être sentit coupable de deux mort, son père et sa mère...Il se voit aujourd'hui comme un monstre qu'on ne doit surtout pas aimer ou approcher, devenant très violent et très agressif avec les personnes qu'il apprécie. Ce qui fait de Dean quelqu'un de très difficile à cerner certainement.

En résumé, Dean est un garçon souffrant plus que jamais du tort qu'il a commit autour de lui, ne sachant s'arrêter d'être agressif et violent avec les gens qu'il commence à aimer...Derrière tous ça, derrière cette carapace cruel qu'il se donne, Dean est un garçon qui demande énormément d'affection, qui demande un petit paradis d'amour et de bonheur...Il veut simplement être aimer mais a peur de faire souffrir...

Ce qu'il aime ? Il préférerait ne rien aimer, malgré toute les souffrances qu'il a fait infliger à tante, Dean aime celle-ci et tient à elle comme à la prunelle de ses yeux...Mais aujourd’hui, Dean souffre bien trop de la disparition de ses parents et devient extrêmement difficile envers cette tante qui s’occupe de lui

C'est un amoureux de l'art de la musique, depuis la mort de ses parents il sait plonger dans diverses instrument, batterie, guitare, basse, violon, piano, flûte, on ne compte plus le nombre d'instrument qu'il peut jouer. En ce moment il sait mit à l'harmonica, le chant lui plaît aussi. C'est un amoureux de la musique, la seule chose qu'il ne fait pas souffrir.
Par la suite, il aime s’entraîner au sabre, certainement devenu l’un des meilleurs et des plus rapide il passe des journées entières sans manger rien que pour s’entraîner…

Détestant la couleur rouge et se détestant lui même plus que tout au monde...Ce sont les seules choses qu'il hait !

Comme décris si dessus, il est extrêmement désagréable ou désinvolte. Réincarnation du jemenfoutisme, il aime emmerder son monde et ne se gêne pas pour le faire. Il a la main facile et pour couronner le tout, Dean a énormément de mal à accepter certaine orientation de sa vie. Il n'aime pas être entouré ou plutôt, il a peur d'être entourré. Ainsi, il cherchera très vite la bagarre ou alors fera tout pour vous faire fuir. Pour cela, n'importe quel technique est utilisable. La drogue étant bien évidemment sa préféré car même si vous restez à ses côtés, lui, il n'y sera plus. En résumé, il essaie simplement de vous évitez bien des ennuis en vous affligeant sa présence dans votre vie, se considérant comme un monstre.

Raison de la présence ici

Violence incontrôlé, Dean ressent le besoin de ce faire du mal à lui et aux autres ce qui le rend passablement dangereux car il ne se donne aucune limite dans la douleur, aussi bien pour lui même que pour les autres. Il souffre de terreur nocturne, l’entraînant à des crises d’insomnie. Par la suite, c’est un drogué et ces passages sans drogue risque d’être passablement mal vécue. Plusieurs tentative de suicide témoigne de son non respect de la vie et de sa non confiance en lui. Il vit dans son propre monde et peu éclater à tout moment.

h o r s . j e u x

Prénom/Pseudo Juju-chan
Présence sur le forum 5/10
Multinick à déclarer ? aucun[/size]