Jiang Yang Wei {Terminé}

P a s s é & e n t o u r a g e

Histoire

Un passé banal, pour une vie banale. Quoi de plus simple que cette phrase si souvent sortie d'entre les lèvres de Jiang. Il vous répondra ainsi prétextant avoir quelque trous de mémoires pour se rappeler de la suite. Il semble ne pas se souvenir de son enfance, de son adolescence, même si dans sa tête, tout est clair. Un 16 juillet, il pointa le bout de son nez, naquit à l'aube et dans la souffrance intolérable de sa mère qui accouchait, disons, à la « sauvage ». Seule, chez elle, dans la baignoire. Tiens, drôle de façon, de mettre au monde un enfant, et drôle de façon d'aimer son enfant que de le glisser dans un linge propre et de le déposer sur les marches d'une maison de la ville voisine. Il ne connaîtra jamais ses parents, et ça ne semble pas le toucher plus que ça, il ne se préoccupe guère de ce qui pourrait lui causer des soucis. Quelques années passent, il fut élevé par sa famille adoptive dans la joie et la bonne humeur. Il pensait être un vrai fils désiré, et quelle déception quand il apprit d'où il venait.

« - Tu étais là, posé devant notre porte... C'est tes pleurs qui nous ont sortit du lit...
- Vous avez fait quoi, ensuite ?
- Nous t'avons tout de suite aimer... Et nous savions que le destin t'avais glisser parmi notre famille...
- Le destin m'en veut. Le destin ne m'aime pas. »

C'est ainsi que tout commença. C'est à ce moment là qu'il se sentit un peu perdu, repoussé bien qu'il n'en soit rien avec ses parents adoptifs. Il semblait se poser mille et unes questions, et pourtant, il n'osa pas les laisser franchir ses lèvres c'est pourquoi il se fondait chaque réponse, comme à la logique. Il n'étais pas un enfant désiré, et pour lui, toute la ville entière lui en voulait, à présent, d'être sur terre. C'est sans dire qu'il se faisait plein de petit film dans son imagination, et qu'il commençait sérieusement à les croires.

« - Pourquoi tu ne m'as rien dit ?
- Que voulais-tu que je fasse ? Que je te dise que je t'emmenais chez le psychologue ?
- Je ne suis pas fou ! On dirait que je suis dingue pour toi... Mais tu ne me dit pas même qui je suis réellement. Comment veux-tu que je sois bien ?
- Mon chéri, arrête ses âneries, veux-tu ? »

Âneries ? Et depuis quand savoir qui ont est vraiment est des âneries ? Il ne connaissait ni sa ville natale, ni le nom de ses parents. Il ne savait pas s'il avait des frères ou des soeurs et encore moins s'ils étaient tous encore en vie. Il ne savait pas quel nom ont lui avait donné avant de le déposer sur les marches d'une maison. Il ne savait rien. C'est ainsi que la maladie commença à prendre de l'ampleur. A la base, il se faisait trop de film, mais ça devient plus grave quand il commence à se retirer de la population, comme semblant craindre que quelqu'un parle sur lui, le juge. Il a continuellement l'impression que chaque personne autour de lui, complote sur son sort et juge si oui ou non, il doit rester en vie. Ainsi, il commence à se terrer un peu plus, évitant le contact de tous.

« - Qu'est-ce que c'est, ça ?
- Hein ? Ca quoi ? »

Sa mère pointe son index en direction du bras de Jiang. Une cicatrice parmi tant d'autre sur son avant bras. Il cacha ses dernières en rabaissant la manche de son pull, et leva son regard vers sa mère, en lui adressant un fin sourire.

« - C'est rien, c'est le chat du voisin. »

Cette simple réponse ne mit aucun doute à sa mère. C'était bel et bien le chat du voisin. Naïve qu'elle était, elle ne se posa pas plus de question, même si elle aurait dû. Le fait qu'elle ne voit rien agaça au plus haut point Jiang qui commença à se dire si le rôle d'une mère n'était pas de s'inquiéter pour son enfant.

[...]

Le souffle rauque sur sa peau le faisait frémir. Ses mains parcourant son corps le faisait gémir. Le moment interminable de l'acte le faisait mourir. Il se sentait bien, plus vivant qu'à l'ordinaire. Ses hommes qui prenait possession de son corps, chaque jour, le rendait un peu plus vivant chaque semaine. Il se sentait à chaque fois plus dur de corps et d'âme et rien ne pouvait l'atteindre. Pour ceux à qui ça aurait fait perdre de la fierté, lui il en gagnait. Et comme à chaque fois, au moment où l'autre se laissait aller en lui, il prenait cette lame et la glissait sur le dos de son partenaire pour lui en laisser une longue taillade d'où le sang en émanant lui faisait prendre son pied, et à son tour, il se laissait aller. C'était un peu comme un rituel et si vous voyez ainsi, sur le dos d'un homme, une longue cicatrice, vous saurez qu'il s'agit d'une conquête de Jiang.
Puis il poussa le vice plus loin.

« - Laisse-moi faire...
- Jiang, arrête, tu n'es pas dans ton état normal. Tu as bu ?
- Sois tranquille... »

La lame glissait le long du torse de l'homme. Jiang avait un de ses sourires qu'on pourrait qualifier de psychopathe. Son regard brillant et remplis de petites étoiles de malice. Cet homme était trop violent avec lui, chaque soir. Il devait le purifier... Et rien de mieux pour ça que de remplacer son sang. Tel était l'idée qu'il avait en tête. Remplacer son sang par celui d'un autre. Et l'autre dormait à à leurs cotés. Trois homme dans un lit, je ne vous fait pas de dessins de se qui c'était passé la veille au soir. Jiang trouvait l'un trop sage, l'autre trop dur. Pourquoi ne pas échanger leur sang ? En donné un peu de l'un pour l'autre et vice versa, ils se compléteraient ainsi... L'homme ne riait plus, ne jouissait plus comme quelques secondes avant. A califourchon sur lui, Jiang laissait traîner la lame sur son torse, détournant chaque tétons, puis remontant jusqu'à sa gorge. Un cris étouffés, un souffle de douleur, la lame venait de trancher cette gorge ou du sang en jaillissait un peu plus fort. L'autre à leur coté se réveilla, et le cris qu'il poussa en fit sursauter Jiang qui eut pour seul reflex de lui faire subir le même sort. Il regarda le drap blanc devenir de plus en plus rouge, jusqu'à en devenir noir à certains endroit. Le sang s'échangeait, mélangé ainsi, et il en eut un fins sourire. Une soirée sadomasochiste, transformé en une soirée meurtrière. Mais ce n'est pas comme ça que le voyait Jiang, heureux d'avoir pu aider ces deux hommes qu'il ne connaissait que depuis quelques semaines pour avoir été leur jouet et leur expérience sadomasochiste. Il coucha, à coté des deux autres garçons, et s'endormit, l'air de rien.

[...]

C'est le lendemain matin que la mère d'un des deux garçons les retrouva. La police arriva, Jiang fut emmener, et incarcéré. Le jugement fut sans appels et il fut transféré à Keishin. On le jugea malade et besoin de soin médicaux.


Caractère

Les défauts seront-ils toujours des défauts ?

Quel est sa vie ? Qui la connait ? Personne ou seulement lui-même. Il raconte à tout le monde une version différente à chaque fois de se qu'il a vécut. Ainsi il a l'air de ne rien cacher mais en garde une certaine carapace. Il vit de ses secrets. Il vit des mensonges qu'il raconte aux autres. Il pense comme il l'entends et reste fidèle à ses lois. Mentir aux autres n'est pas réellement un défaut. Il s'agit seulement d'une protection. Il fait voir aux autres, une vie qu'il aurait aimé avoir.
S'il ment pour se protéger, il ment aussi pour se défendre. Si le danger est trop présent autour de lui, il n'hésitera pas à se défiler avec un joli mensonge bien placé. Ce n'est pas là un geste de faiblesse, mais il le prends pour un geste de survit. Parfois, il faut savoir faire la part des choses pour arriver à sauver sa peau. Ce qu'il considère comme une qualité parmi tant d'autre peut s'annoncer comme un défaut devant d'autres. Mentir, est-ce réellement tromper ? Tromper, est-ce réellement mentir ? Il faudrait lancer un débat à ce sujet, les statistiques pourraient s'annoncer étonnantes.
Jalousie n'est pas un mot qu'il connaît. Qu'on s'occupe de lui ou qu'on ne lui prête peu d'attention. Qu'on parle de lui ou non. Qu'on fasse ce qu'il attends ou qu'on prenne les idées des autres, même s'il pense que tout le monde peut penser beaucoup de chose sur lui, à chacun de ses passages, il n'a pas besoin des autres pour survivre.
Rien ne lui appartient pas, tout lui appartient. Si cela sonne un peu incompréhensible, ce qu'il veut en dire en est tout autrement. En effet, c'est très simple. Il a tout ce qu'il veut, mais si une personne le veut, il faudra qu'il apprenne à attendre et attendre jusqu'à ce que la mort l'emporte. Vous avez compris ? Jamais personne n'obtiends quoi que se soit de Jiang. Peut-être son corps, et encore, seulement si c'est lui qui le décide seul. En fait, c'est quelqu'un de très difficile à cerner. Il a peur, il méprise tout le monde, il se cache de tous ces gens mal intentionné dirait-il. Mais parfois, il se montre si convaincant et si doux avec n'importe qui... Quel jeu joue-t'il ?

Du bon sens dans son existence.

Sujet, adjectif, verbe. Tout va bien, Jiang sait aligner quelques mots pour former une phrase complète, simple, et compréhensible. Ne parlant pas pour ne rien dire, il réfléchir toujours trois plombes avant de répondre quelque chose. Soit si vous lui demandez son prénom, vous pouvez aller vous fabriquer un hamac, dormir un peu et revenir avant qu'il ne vous réponde. J'exagère un peu, soit. Il n'ouvre ses fines lèvres pour dire des choses seulement sensées. Il n'aime pas user sa salive inutilement, vous avez à faire à un être délicat et tendre... Vous m'avez crus ? Non bien sûr, il est tout ce qui peut être de direct sur cette terre. Même s'il ose dire se qu'il pense, utilisant une certaine franchise mal contenue, il peut blesser en jetant la vérité en pleine face sous pretexte que la vérité est souvent bonne à dire. On guerrit le mal par le mal, alors bonnes ou mauvaises paroles, le résultat en est le même.
Si on a pas l'habitude de l'entendre, souvent sont surpris ceux qui l'entende parler. Solitaire ? Oui, et plus qu'un peu. Il aime vivre selon ses idées, sous ses règles et ses diverses forces analytiques. Il a déjà son chemin de tracé, et personne ne le guide pour lui. Il n'accepte donc aucune aide même s'il vient dans l'incapacité de se sortir d'un piège seul. Il préfère encore périr plutôt que d'obtenir l'aide de gens quelconque et sûrement mal intentionné. Mystérieux, il peut faire rêver n'importe qui, mais en l'occurence, c'est lui qui décide l'heure, le moment et le jour pour une certaine relation. Rien d'amoureux, simplement physique et fait pour partager un simple bon moment. S'il avait un coeur, ça se saurait. Aucun coeur ne peut avoir son emprise et il n'est prisonnier d'aucun coeur en retour. Si on s'approche de lui, il verra suivant son humeur pour, oui ou non, s'abandonner à un jeu de quelques heures seulement. Rien de plus.

Kill me... Killing me

Vous n'avez aucune chance de vous en sortir quand il voue un culte sur vous. Aucune chance pour avoir de la sympathie à son égard si vous le détester. Aucune chance pour avoir de la haine à son égard si vous l'aimez. Il joue très bien et adore manipuler les corps, les coeurs, et les âmes. Sympathique petites choses entre ses mains, ses bras, entre ses reins quand il le veut. Il déguste quand il en a envie, rejete dès qu'il en a assez. Vous avez compris ? Tout n'est qu'amusement entre ses mains. Un vulgaire torchon aurait le même rôle. Son passé l'ayant fait trop souffrir, il n'aura jamais pour habitude de vous offrir des fleurs. Il se venge sur son présent à cause de se qui lui est arrivé autre fois. En fait, la raison de son étrange comportement qui, jour après jour, fait souffrir ceux qui l'entoure, n'est autre que le mal être qui l'habite. Il a besoin de se faire mal, il a besoin de faire mal aux autres, physiquement ou moralement. Il n'aime pas être l'attention de tout le monde mais parfois adore ça. Il a peur dès que l'on prononce son prénom, mais au final ça l'excite. Il joue un double-jeu qui le tue peu à peu, mais peut-être arriverez-vous à le cerner ?

Raison de la présence ici
Il est ici parce qu'il semble être quelqu'un de malade même s'il a tué deux personnes. C'est ce qu'on a dit de lui.
Paranoïa : Délire d'interprétation (victime de complots ou de persecutions imaginaires).
Trouble psycopathique : Absence de culpabilité ; Difficulté de maintenir une relation avec autrui avec passage à l'acte : Forte irritabilité (actions violentes et impulsives).


h o r s . j e u x

Prénom/Pseudo Titouille xD
Présence sur le forum Assez souvent =D
Multinick à déclarer ? Aucun.

Ho Thank's. Je me demandais si c'étais la fatigue ou mon ordi qui me condamnais xD Merci beaucoup pour les icons, surtout que je les voulais pour ma sign'.
Je terminerais ma fiche ce soir =D

Merci du compliment *.* J'ai passé deux jours dessus xD

Aouch TwT Pauvre Yindee... Paix à son âme =D
Merci encore et superbe forum.